L'homme a marché sur la pub

http://video.google.fr/videoplay?docid=1245533993862472821

elle marche pas la vidéo
de toute façon c'est pas grave, les antipubs m'agacent (à cause de Vincent C. qui est vraiment obtus et en permanence au bord du pétage de plomb)

[edit] bon ça doit être mon ordi qui déconne parce que plus aucune vidéo ne fonctionne

chakiroul a écrit:

de toute façon c'est pas grave, les antipubs m'agacent [...]

C'est une réaction tout à fait normale d'honnête et parfaite citoyenne du monde marchand.
L'étape suivante pour préserver la liberté d'expression consumériste, et si l'endroit n'est malheureusement pas encore sous vidéo-surveillance-protection, consiste tout simplement à prévenir immédiatement les forces de l'ordre au cas où l'on assisterait à l'une de ces odieuses et manifestes actions de brouillage de dégradation d'un quelconque équipement du réseau de conditionnement d'information mercantile.

ce n'est pas les actions de barbouillage qui me gênent mon cher aka, mais plutôt le manque de réflexion des gens qui pratiquent ce culte, leur manque de réflexion globale

A Lyon le RVV dans les années 90 était un véritable think tank, comme faisait remarquer François Schneider début avril ; j'aurais jamais eu l'idée d'appliquer ce terme à notre bouillante petite asso, mais quand on compare au reste ça le vaut ; aujourd'hui les vélorutionnaires ne proposent rien à part amalgamer le militantisme pro-vélo avec les déboulonneurs.
Le discours décroissant est d'une vacuité affligeante, il suffit d'écouter Paul Ariès pour s'en convaincre.

on voit bien que tu ne sais pas qui est Vincent C. qui a lancé Casseurs de pub en France ; degré de réflexion zéro ; à l'heure actuelle Vincent C. est en permanence au bord du pétage de plombs, s'il continue sur sa lancée je lui prédis un petit séjour involontaire à l'HP dans quelques années ;
je déteste la médiocrité, et je n'excuse pas les médiocres et intellectuellement paresseux sous prétexte qu'ils ont les opinions qu'il faut, anti-bagnole, décroissant, anti-pub, social, de gôche, pro-squatteur
je suis fille de prolo cégétiste, mais j'ai pris du recul par rapport à ça, et qu'ils soient de droite ou de gauche, j'aime pas les branleurs profiteurs ; on peut être cégétiste et bras cassé, oui c'est possible, c'est pas des anges


PS : la référence au fait que je serais une honnête citoyenne du monde marchand me fait plier de rire, étant donné que j'ai jamais aussi peu consommé de ma vie ; facile quand on n'a pas d'enfants de ne pas consommer, tu vas me dire ; c'est vrai, et les enfants c'est de toute façon un luxe que je ne peux pas me permettre
au téléphone chaque fois qu'on essaie de me vendre un truc je réponds "ne vous fatiguez pas j'ai pas d'argent j'ai plus une tune", et si ça insiste "j'ai pas de fric je suis pauvre"
même réponse aux boîtes qui essaient de vendre leurs indispensables services à la mienne, de boîte : "j'ai pas de fric !!"

Rhaaaaalalalalalala, mais je te chaaaa-rrrrie et toi tu fonces tête baissée.
Je le sais bien tout-ce-que-toi-tu-sais-que-je-ne-sais-pas-que-toi-tu-sais(-qu'en-plus-je-ne-sais-même-pas)...
Et c'est bien pour ça que j'ironisais outrageusement ("l'ironie est la bravoure des faibles [...]")

Pas étonnant que tu sois encore sans le sou à ton âge avec un tel manque de discernement et de subtilité langagière (t'es bien une fille de prolétaire, tiens !...).
Avant de (perdre son temps à) réagir inutilement, le rédacteur suggère aimablement la relecture du début de ce message.

aka a écrit:

Pas étonnant que tu sois encore sans le sou à ton âge

non mais faut pas pleurer quand même, des sous j'en ai gagné suffisamment pour remplir mon garage de vélos et en partie pour démarrer la boîte

mais maintenant j'ai presque un plaisir jubilatoire à envoyer sur les roses les sollicitations publicitaires téléphoniques, parce que là j'ai un argument imparable qui parle aux tripes "tu veux mon pognon ? ça tombe mal, j'en ai plus, nananère" ; et en plus je peux me permettre de les éconduire illico presto avec la bonne raison "j'ai pas le temps j'ai du boulot"
Et je sais pertinemment que je me défoule sur de pauvres lampistes bien obligés de faire des boulots de merde pour croûter.

Et la célèbre discussion de tes camarades de lutte (nan, j'déconne encore) sur le sujet, tu la connais pas ?...
(ou tu fais déjà partie des quelques 46.000 lecteurs édifiés par ce combat titanesque, et ces arguties tout en finesse )

http://bap.propagande.org/modules.php?name=Forums&file=viewtopic&t=1007&sid=3df59819ab527659255098776f17fd5c

Y'a quand-même un p'tit truc qui m'a beaucoup inspiré chez z'eux (mais dans quel sens... ) :

http://bap.propagande.org/modules.php?name=Downloads&d_op=viewdownloadinfos&lid=190

ah non je ne connaissais pas car je ne fréquente pas les antipub
Pour programmer un rendez-vous et poser un lapin au dernier moment, il faut vraiment avoir que ça à foutre.
Ceci étant, je comprends qu'on puisse en venir à des choses pareilles, car certains démarchages tiennent plus du harcèlement que de la recherche rationnelle de clientèle.
Pendant environ un an, on a été emmerdés par une boîte de poseurs de fenêtres à qui on répondait inlassablement "merci mais on a déjà ce qu'il faut" ; 7 ou 8 fois il a fallu qu'ils insistent, à la fin j'engueulais la minette que je soupçonnais d'être particulièrement bordélique et non professionnelle avec ses fichiers. C'était devenu du harcèlement, et lorsque j'expliquais à la dite minette qu'elle avait déjà appelé 4 fois et que je lui demandais de cesser, elle m'engueulait. Curieuse méthode pour harponner des clients.