En direct du Nymex

Tu pourrais au moins mettre sa photo, ça mettrait un peu de joie et de couleurs dans tes propos !



Et puis tu vois, on peut avoir un avis sur les problèmes du monde (et un prix nobel de la paix) tout en gardant une vague notion de ce qu'est le sourire. Tu devrais y penser.. parce que les gens de ce forum ne sont pas là pour reçevoir les textes les plus orientés sur toute la misère du monde que tu nous balances jour après jour.

p.s. où t'as vu une pénurie de pétrole toi ??

Citation :

Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en octobre a clôturé à 102,58 dollars, en baisse de 68 cents par rapport à son cours de clôture de mardi.

La séance a été marquée par le retour du Brent sous le seuil des 100 dollars, pour le deuxième jour consécutif.

Source :
http://www.journaldunet.com/economie/actualite/depeche/afp/24/557281/le_baril_de_petrole_passe_sous_98_dollars_a_londres_au_plus_bas_depuis_fevrier.shtml

Faut pas s'en faire les gars, ça ne peut que remonter, forcément, comme l'immobilier par exemple...

Je viens de relire ce même article que j'avais déjà signalé mais depuis une autre source.

Le cours du brut se moque de la réalité des carburants
http://questionscritiques.free.fr/edito/AsiaTimesOnline/William_Engdahl/speculation_petrole_Wall_Street_230508.htm

Or il est toujours aussi bon à l'aune des dernières "tendances"...
Z'en pensent quoa les 'illuminés du peakoil z'et autres fétichistes du cour du brut ?...
Ça va faire un p'tit bail qu'on les a pas entendu psalmodier fébrilement leurs chiffres...

L'effondrement du cours du baril fait partie du scénario depuis longtemps prévu : flambée du prix du pétrole = baisse de la consommation = retour à une baisse des cours.
Puis cette baisse des cours entrainera à son tour une augmentation de la consommation puis à nouveau à une augmentation des prix. Et ainsi du suite dans un cycle sans fin du moins pas avant la survenue du peak (prévue rappelons le aux alentours de 2010) .

D'accord avec Rico et puis les banques vont avoir besoin de se refaire alors je vois bien le scenario suivant : si le pétrole baisse suffisamment, elles vont à nouveau pouvoir spéculer sur le cours du brut et rebelote
sans oublier que la baisse des cours ne plaît pas aux producteurs alors ils sont capables de fermer un peu le robinet
et puis n'oublions pas que l'euro baisse aussi alors le prix du baril calculé en euros, bof, baisse pas tant que ça

En direct du NYMEX

A c't'heure
Market Last
Crude Oil (CL) 82.63

Un article d'un article qui arrive après la bataille, mais c'est toujours ça de confirmé...
En plus, ça fera plaisir à Rico vu qu'il pourra s'remettre à suivre le nymex minute par minute (moui, m'enfin, pas z'avant 2 ou 3 z'ans, voir peut-être même 5 ou 6... )

Krach du crédit aujourd’hui, boom du prix du pétrole demain [?...]
http://alternatives-economiques.fr/blogs/raveaud/2008/10/08/krach-du-credit-aujourdhui-boom-du-prix-du-petrole-demain/

Citation :

Bon alors les spéculateurs sont repartis, les prix de la nourriture et de l’énergie vont revenir temporairement à des niveaux raisonnables. Ce n’est peut-être pas totalement une bonne nouvelle pour la planète, mais pour des millions de gens parmi les plus pauvres, c’en est incontestablement une. Rappelons nous les émeutes de la faim intervenues il n’y a pas si longtemps.

En direct du NYMEX

A c't'heure
Market Last
Crude Oil (CL) 72.05

Chacun son p'tit plaisir quotidien pour satisfaire sa curiosité (maladive).
Moi, en ce moment, c'est plutôt celui-là...

http://www.boursorama.com/graphiques/graphique_histo.phtml?&symbole=1rPCAC&applet=0



A part ça, un blog pas z'inintéressant par ici : http://fr.transport-expertise.org/

http://fr.transport-expertise.org/index.php/2008/10/09/prix-du-petrole-remise-en-cause-des-strategies-logistiques/

Citation :

Sur un plan stratégique, cette fois, nombreux sont les distributeurs qui prévoient une refonte de leurs implantations logistiques à moyen terme. Des entrepôts localisés plus proches des bassins de consommation généreraient, en apparence, moins de transport.

Aussi, il convient de revoir le concept de flux tendus, pourtant si fortement ancré dans le secteur de la grande distribution. Pour certains produits spécifiques, les rythmes de livraisons des magasins pourraient être largement revus à la baisse.

Le recours à des modes de transport massifiés (fleuve et fer pour les modes terrestres) permettrait notamment de limiter l’impact de la hausse des coûts du transport. A fortiori, la hausse des prix du carburant conjuguée à un coût du stockage élevé (part de plus en plus importante dans les coûts logistiques) doit favoriser un transfert modal de la part des distributeurs et chargeurs. C’est l’idée de « stock en mouvement » qui commence à voir le jour… mais commence seulement ; le concept de flux tendu étant encore prégnant.

Petit t'instantané de la situation selon l'AFP (Agence France Propagande Presse *)

Le pétrole rebondit, réduction de la production de l'Opep en vue
http://afp.google.com/article/ALeqM5jLyP5RF8DFuD1boA0HSHkbcONkXA

Citation :

L'Organisation des pays exportateurs de pétrole a avancé au 24 octobre une réunion d'urgence initialement fixée au 18 novembre, alors que le baril est tombé jeudi sous les 70 dollars à New York, au plus bas depuis août 2007. Les prix ont été divisés par plus de deux depuis le mois de juillet.

(*) http://www.acrimed.org/spip.php?page=recherche&recherche=afp

En direct du NYMEX

A c't'heure
Market Last
Crude Oil (CL) 49.91

Citation :

La récession américaine fait chuter le pétrole
02/12/2008 14:14 - L'Expansion.com

Les cours du pétrole ont atteint de nouveaux plus bas depuis 2005 mardi en début d'échanges européens, dans un marché inquiet d'une baisse de la consommation.

Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier a frôlé les 46 dollars à Londres, tombant à 46,03 dollars, un nouveau plus bas depuis le 18 février 2005. Il a cédé 1,94 dollars depuis la clôture de la veille, journée où il avait déjà perdu 5,52 dollars.

Le baril de « light sweet crude » pour la même échéance, échangé à New York, cédait jusqu'à 1,92 dollars à 47,36 dollars, un plus bas depuis le 20 mai 2005. Il avait déjà enregistré une forte baisse lundi en perdant 5,15 dollars.

Les échanges ont été plombés par l'annonce, lundi, que les Etats-Unis sont officiellement en récession.

La baisse du pétrole est aussi due à la décision de l'Opep ce week-end de maintenir ses quotas de production inchangés lors d'une réunion au Caire, dans ce contexte économique très morose. L'organisation, qui pompe 40% du pétrole produit dans le monde, a cependant laissé entendre qu'elle baisserait ses quotas de production lors de sa prochaine réunion, le 17 décembre.

Consommation
Essence, gaz, billets d’avion : qui profite de la baisse du pétrole ?
Benjamin Ferran (avec AFP) - 16/12/2008 17:12 - L'Expansion.com

Citation :

Fin septembre, le vice-président de GDF Suez, Jean-François Cirelli, avait [...] affirmé que les prix du gaz pourraient baisser si ceux du pétrole restaient inférieurs à 100 dollars, ce qui est désormais largement le cas. Luc Chatel, lors du compte rendu du Conseil des ministres, a ajouté qu'« en avril, si les prix du pétrole sont maintenus à des niveaux aussi bas que maintenant, le gouvernement pourrait envisager de baisser le prix du gaz ». Les tarifs du gaz sont réévalués tous les trois mois par le gouvernement sur proposition de GDF Suez. ( )

[...]

« Le prix du gazole pourrait être encore plus bas si les marges de raffinage n'étaient pas aussi élevées », décode François Carlier, de l’UFC-Que Choisir. Selon une étude de l’association de consommateurs publiée en octobre, cette marge entretenue artificiellement est passée pour un litre de diesel de 2 centimes d'euros en 2002 à 6 centimes en 2007 et 17 centimes en mai 2008, alors que celle sur l'essence est restée stable à 2 ou 3 centimes. ( )

En gros ça veut dire qu'il faut quelques semaines pour augmenter le prix du gaz // pétrole, mais 6 mois pour l'inverse ^^.

Citation :

Pétrole : le cours du Brent au plus bas depuis 4 ans
24/12/2008 14:33 - L'Expansion.com

Le baril de Brent de la mer du Nord, échangé à Londres et pour livraison en février, a touché mercredi un nouveau plus bas depuis le 29 décembre 2004 à 38,50 dollars. A la même heure, à New York (en milieu de journée à Paris), le baril de « light sweet crude » pour livraison en février s'échangeait à 37,62 dollars, perdant 1,36 dollar. Malgré plusieurs éléments favorables à un redressement des prix du brut, comme le léger repli du dollar ou le temps froid bien installé sur le nord des Etats-Unis, ceux-ci continuent de céder du terrain. « L'actualité économique continue d'alimenter les inquiétudes concernant l'affaiblissement de la demande qui tire les prix vers le bas » observe John Hall, analyste du cabinet éponyme.

OIL ADDICTION
https://www.dailymotion.com/video/x6dkeq_good-oil-addiction_news

Citation :

Vous avez aimé Bernard Madoff ? Vous allez adorer Andrew Hall. A la différence du premier, le second ne dort pas en prison. Il a le choix entre sa résidence du Connecticut (dont le style néoclassique rappelle la Maison Blanche) ou son château vieux de 1 000 ans (mais retapé) en Allemagne. A la différence du premier, le second n'a escroqué personne. Ce trader vedette de la banque américaine Citigroup est juste en train de réclamer à son employeur les 100 millions de dollars auxquels il a droit en raison des profits qu'il lui a fait gagner en 2008.

Premier problème : M. Hall et ses collègues ont beau être géniaux, Citigroup a eu besoin de 45 milliards de dollars d'argent public pour passer l'hiver. C'est donc le contribuable, désormais premier actionnaire de la banque, qui va devoir mettre la main à la poche pour que Citi puisse honorer ses engagements. Deuxième problème : c'est en spéculant sur le pétrole que M. Hall a gagné des millions. Sans qu'ils le sachent, c'est donc en partie "grâce" à lui, que les Américains ont payé en 2008 leur essence un peu plus cher que ce que la loi de l'offre et de la demande aurait exigé.

Source : Les Etats semblent impuissants face au retour des bonus
LE MONDE | 10.08.09 | 13h45 • Mis à jour le 10.08.09 | 13h45

Bon... et à part ça... l'en est où le court du Nymex ?...

Voilà, voilà.

En direct du NYMEX 04 septembre 2009, ça faisait très très très longtemps.

A l'heure actuelle
Market Last
Crude Oil (CL) 68.21 +0.25

Dé-dollarisation du pétrole :
un bouleversement financier aux conséquences géopolitiques considérables
Par Robert Fisk, The Independent, 7 octobre 2009
http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2829

Citation :

Le plan de dé-dollarisation du marché pétrolier discuté en public et en secret pendant au moins deux ans et largement démenti hier par les suspects habituels - en tête desquels l’Arabie saoudite comme on pouvait s’y attendre - reflète le ressentiment croissant au Moyen-Orient, en Europe et en Chine envers des décennies de domination politique et économique américaine.(...)

Cela n’indique pas le début d’une guerre commerciale avec les USA - pas encore - mais les régimes arabes du Golfe sont de plus en plus rétifs vis-à-vis de leur dépendance économique et politique à Washington depuis de nombreuses années. Sur les 7 200 milliards de dollars de réserves internationales, 2 100 milliards sont détenus par les pays arabes, et environ 2 300 milliards par la Chine. Les nations intéressées à l’abandon du dollar dans le commerce pétrolier sont présumées détenir plus de 80% des réserves internationales en dollars.(...)

Les banquiers saoudiens sont bien conscients que d’ici à neuf ans - le délai de transition prévu pour l’abandon du dollar dans le commerce du pétrole au profit des devises japonaise et chinoise, de l’euro, l’or et d’une éventuelle nouvelle monnaie du Golfe - La Chine aura doublé son PIB, pour atteindre les 10 000 milliards de dollars (en supposant un taux de croissance de 7%), et que les États-Unis pourraient alors ne plus peser que 20% du PIB mondial.(...)

Voilà un tableau intéressant, pour savoir ce qu'il en aura couté de rouler avec insouciance au SP95 depuis bientôt un septennat (prochainement, d'ici le printemps 2010, mon deux millième litre cramé, à moa tout seul...)

http://www.france-inflation.com

Spéciale dédicace à tous les radieux z'employés z'et autres z'actionnaires de la firme... (coucou Pticlounenbent )

Valérie Lion / LEXPRESS.fr a écrit:

Total est devenu l'abcès de fixation d'une mauvaise conscience des pays développés, en se retrouvant au carrefour de tous les sujets qui nous taraudent : la pollution, l'épuisement des ressources, le CO2, l'exploitation des populations des pays en développement. C'est un concentré de notre mauvaise conscience.

Le tableau est-il entièrement noir ? [sic...]

Non, car le groupe reste attractif pour deux populations. D'une part, les jeunes diplômés, qui sont toujours séduits par l'employeur Total. D'autre part, les actionnaires et les investisseurs pour lesquels le placement Total s'est toujours révélé bon, car les dividendes sont au rendez-vous et le cours de Bourse n'a jamais souffert de la mauvaise image du groupe.

Sortez vos mouchoirs, l'Union Française des z'Industries Pétrolières fait part de son Malaise dans le raffinage pétrolier
http://www.usinenouvelle.com/article/malaise-dans-le-raffinage-petrolier.N125798

Citation :

(...) En France, la demande pétrolière se contracte toujours et, avec 81,5 millions de tonnes (Mt) en 2009, est retombée au niveau des années 1982-1983. Les carburants automobiles, qui représentent plus de la moitié de la demande – 52% exactement – ont confirmé leur décrochement de 2007. Si la consommation de gazole (33,2 Mt) s’apprécie de 1,1% par rapport à 2008, celle de supercarburant baisse de 5,5%. Conséquence de la baisse des cours du brut, les prix du SP 95 et du gazole sont retombés fin 2008 et ont retrouvé leurs niveaux de 2002, 1,05 euro par litre pour le gazole et 1,25 euros pour le super. Autre élément négatif pour la filière pétrolière, les grandes surfaces continuent de grignoter des parts de marché et en 2009 ont assuré 60% des ventes de carburant.

(...) les quantités traitées ont baissé sur un an de 13,2% à 72 Mt. Les exportations d’essence ont baissé de 17% (4,6 Mt) et les importations de gazole ont bondi de 38% (13 Mt). Depuis mars 2009 le secteur perd chaque mois 150 millions d’euros, a calculé l’Ufip, une situation qui n’est pas soutenable. D’autant, souligne Jean-Louis Schilansky, que les nouvelles mesures européennes et françaises pour réduire l’impact écologique du secteur pourraient ajouter 6,5 euros par tonne de brut traité. Et, sans prendre en compte la taxe carbone, se lamente l’Ufip.

Le problème du raffinage est européen. Outre la Raffinerie des Flandres de Total, 4 ou 5 raffineries sont menacées en Italie, 2 en Allemagne et 2 autres au Royaume-Uni. Alors qu’en 2007, il était possible de trouver des acquéreurs pour les raffineries que voulaient céder les pétroliers, tel n’est plus le cas aujourd’hui.

Pour rétablir l’équilibre entre offre et demande, il faudrait peut-être fermer 15 des 114 raffineries de l’UE, suggère Jean-Louis Schilansky. Il n’existe pas de solution franco-française, précise-t-il, appelant à des solutions européennes. Malgré une petite amélioration hivernale en janvier, les marges de raffinage resteront déprimées en 2010, estime le directeur de l’Ufip. A Marseille, le projet de construction de capacités de stockage, avec des fonds publics, destinés à l’importation de produits raffinés en Inde ne va pas contribuer au rééquilibrage du marché.

Marc Pigeon, délégué CGT du site de Dunkerque a écrit:

Selon l'Union française des industries pétrolières, il resterait entre 7 et 10 jours de stocks de carburant disponible. Mais si tous les automobilistes font le plein dans les jours à venir, la pénurie pourrait être atteinte plus rapidement. Aujourd'hui six raffineries Total étaient en grève en France, sur les douze que compte le pays, toutes marques confondues. Demain il y en aura huit, avec les deux raffineries d'Exxon Mobil. Cela signifie que mardi plus de 60% du flux d'expédition ne sera plus sur le marché. D'ici jeudi ou vendredi, nous devrions donc arriver à une pénurie d'essence.

Le ciel est lourd de menace au dessus du radieux pôle commercial nantais d'Atlantis

TOTAL RADICAL #7
http://latelelibre.fr/index.php/2010/03/total-radical-7/

Philippe Jonneskindt a écrit:

6 h. Les Appontements Pétroliers des Flandres sont constitués au port ouest de Dunkerque d’un quai et de cuves de stockage, celles-ci contiennent 500000 tonnes de pétrole brut. Depuis l’achat de ce stock, Total a réalisé à ce jour, sur une éventuelle revente du pétrole, 200 millions d’euros de plus-value. En temps normal ces stocks alimentent la raffinerie, mais des rumeurs ont fait croire que Total pourrait récupérer ce pétrole, par bateau en inversant les pompes. Les salariés de Total ont donc décidé d’utiliser ce trésor de guerre, en s’emparant des systèmes électro-magnétiques des pompes, afin de les rendre provisoirement inutilisables.
Les éléments d’une de ces pompes seront divisés en trois parties et remis respectivement à l’Etat, à la Région Nord Pas de Calais et à la Communauté Urbaine de Dunkerque. Trois éléments d’un piège diabolique où chaque institution sera face à sa responsabilité.
8h. Blocage symbolique de l’écluse Charles de Gaulle à Dunkerque, la plus grande des trois, celle qui permet l’accès aux pétroliers et minéraliers. Rencontre entre les salariés, lassés de tant d’incertitude et Mme Bonny, Présidente du Directoire du Grand Port Maritime de Dunkerque, 3ème port de France, qui ne l’oublions pas, réalise une grande partie de son tonnage avec les importations et exportations de produits pétroliers, liées à la raffinerie. A suivre…

Dans son dernier courriel annonçant le challenge annuel organisé et récompensé par TerraTrike (ça consiste à faire semblant de ne plus se servir de sa voiture pendant un mois et de le raconter sur un blog ad hoc), tonton Bryan nous raconte que le gallon d'essence est repassé au dessus des 3 dollars US.

Aux cours d'aujourd'hui, ça nous fait le litre à 60 centimes d'euro...
C'est sûr que c'est ça qui va motiver les z'étasuniens à rouler r'à vélo...