La bonne vianviande !

sebdenantes a écrit:

Toujours pas d'accord. La démocratie n'existe que dans le dictionnaire. La classe dirigeante ne représente qu'elle-même et les lobbies pour lesquels elle se prostitue.

Tant que chaque mascarade électorale ne sera pas définitivement discréditée par un raz de marée de bulletins blancs ; tant que l'économie bouffera de l'homme plutôt que de le servir docilement ; tant que la propagande médiatique, politique et mercantile, continuera de formater les peuples plutôt que de les éclairer, tout "exploit" individuel de "dissidence" ne fera jamais que conforter et légitimer d'avantage un système collectif devenu fou (en a-t-il jamais été autrement depuis l'avènement des "civilisations" ?)

Le fondement de notre société actuelle repose la-dessus.

Ce qui me peine le plus, c'est l'analyse partielle que font des gens qui s'intéressent aux générations à venir en proposant comme solution de laisser faire l'économie de marché au motif (faux) que c'est le consommateur qui décide. Et l'alternative de voter "contestataire" en virant à droite, même très à droite.

Ca me désole profondement.

Pour l’abolition de l’animal-esclave, je vous conseil également la lecture de cette archive du Monde Diplo sur le statut et la souffrance des animaux :

Citation :

Nous adorons nos chiens et nos chats domestiques, raffolons des dessins animés ou des films animaliers, et cependant notre comportement à l’égard des animaux en général prouve notre insensibilité et notre complicité passive devant leur immense souffrance. Tant que l’animal continuera d’être une propriété et qu’il sera considéré comme un bien marchand, ses supplices se poursuivront. Le texte qui suit est une synthèse, effectuée par la rédaction du Monde diplomatique, des théories de Gary L. Francione pour l’abolition de l’exploitation animale telles qu’il les a exposées au colloque « Théories sur les droits des animaux et le bien-être animal », à l’université de Valence (Espagne), en mai 2006.

La suite ici : http://www.monde-diplomatique.fr/2006/08/A/13752

Je connais un autre usage de la saucisse de Strasbourg qui ne fais pas mal au cerveau.
mais pour cet autre utilisation je déconseille vivement l'usage de la moutarde alsacienne

héhéhéhé

Owanestek

Pourquoi, avec de la moutarde, ca pikatchu ?

et pour continuer, un petit topo sur la saucisse, que l'on rencontre fréquemment en Alsace :

http://hctad.tripod.com/saucisse/index.html

denis_68 a écrit:

et pour continuer, un petit topo sur la saucisse

Justement, parlons-en du porc :

http://www.pour-les-animaux.de/assiette_cochon.html

pour-les-animaux a écrit:

LES CONSOMMATEURS n'ont plus le choix. Quand ils achètent du porc - et ils en consomment pas loin de 35 kg par an -, ils doivent se contenter de cochons industriels ! En effet, 98 p. 100, pour ne par dire 100 p. 100, de la viande de porc présente sur les étals proviennent d'élevages hors sol intensifs. Qu'ils viennent de Bretagne, d'Aquitaine, de Champagne, de Belgique, de Hollande, de Grande-Bretagne ou d'Allemagne... tous sortent de l'usine à cochons.
(...)
Longtemps considéré comme la " poubelle " de la table familiale, le cochon est descendu au rang de " vide-ordures " des industries agro-alimentaires internationales, débris de sous-produits de maïs américains, mélasse pakistanaise, pellets d'agrumes brésiliens, citrus canadiens, farines animales espagnoles... dans les porcheries, c'est McDo tous les jours ! Car pour atteindre au moindre coût le meilleur équilibre nutritionnel pour le porc les marchands d'aliments mélangent les " déchets " de l'industrie agroalimentaire mondiale à l'image de ce " corn gluten feed " américain, sous-produit de l'amidonnerie de maïs, dont les élevages de porcs bretons sont particulièrement friands. La pitance du cochon devient de plus en plus exotique - asiatique, américaine, africaine... C'est pourquoi les élevages industriels de cochons se sont concentrés autour des grands ports européens au plus près des cargos. Côté traçabilité, c'est moyen !
(...)
Pourtant la mauvaise surprise n'est pas à exclure. Ainsi en 1998 un chargement de 100 000 tonnes de pellets d'agrumes, des déchets de l'industrie du jus d'orange - ça change du maïs -, en provenance de Sâo Paulo a été mis sous scellés en Allemagne. Motif : il était bourré de dioxine. Après enquête, on a découvert que l'usine brésilienne dejus d'orange utilisait de la chaux pour déshydrater les déchets d'agrumes et les transformer en pellets. Or la chaux en question était contaminée par la dioxine !

Pour un chargement d'aliments stoppé à temps, combien de cargaisons de cochonneries sont-elles arrivées à mauvais porc ?

Citation :

Truies enceintes et sanglées

Après l'insémination, la truie attend environ 3,5 mois enchaînée dans un box individuel. Moins les reproducteurs bougent, moins ils ont besoin de nourriture. Une semaine avant la naissance des porcelets, la truie est enfermée dans une cage de mise bas, l'empêchant de bouger, mais conçue pour que ses petits puissent venir têter.. sans qu'elle ne les écrase en se couchant, ce qui n'arrive jamais dans la nature. Les truies passent ainsi la majeure partie de leur vie enceinte et sanglées. Elles ont 2 portées par an soit 18 porcelets qu’elles allaitent 2 semaines (8 normalement)
Quand elles sont placées dans les stalles pour la première fois, les truies s'affolent et certaines s'épuisent tellement à tenter de s'enfuir qu'elles perdent connaissance. Ces installations occasionnent souvent des plaies et des infirmités aux truies. Comme elles ne peuvent s'y comporter normalement, elles développent des troubles psychologiques graves
A 3 semaines les porcelets sont transférés dans des cages en batterie sur 3 rangées superposées. Ceux qui survivent reçoivent une injection d'antibiotiques, ont la queue et les dents coupées avec des pinces, sans anesthésie, pour minimiser les plaies des bagarres, car le stress rend ces animaux pourtant sociables, très agressifs. Les mâles sont castrés à vif.
Les jeunes sont sevrés anormalement tôt afin que la truie recommence le même cycle au plus vite. Puis ils sont placés sur un sol en claire-voie qui blesse les pattes (boiteries, déformations, nécroses...)
Les porcs sont nourris d'aliments composés de céréales, de farines animales et d'accélérateurs de croissance, tandis que les femelles sont traitées avec hormones et stéroïdes divers pour tenter d'augmenter le nombre de porcelets et de stabiliser les cycles de fécondité.

Après une vie entière d'immobilisation et de malnutrition, leurs membres sont trop faibles pour les porter. Alors, elles sont traînées par treuil dans le camion. Ces conditions déplorables de transport (de nuit) et de déchargement entraînent fractures et lésions diverses

MOI je ne mange plus et ne bois plus !!!
Comme te toute façon on ait plus sur de rien !!
Bon appétit quand même ……………

normandie-bents a écrit:

Comme te toute façon on ait plus sur de rien !!

Arf, être ou avoir, comme d'habitude...

Mais la viande aux hormones ça ne pourrait pas améliorer les performances cyclistes par hasard ???

Un de mes amis m'a déjà dit que la différence entre les légumes et la viande, c'est que les légumes sont beaucoup plus faciles à attraper, à tuer et à découper que les animaux.

En plus ça fait moins de bruit quand on agresse une laitue de nuit ! Qui a été assourdi par le cri de la tomate au décroché du plan ?

Et avec l'élevage des animaux en batteries (ho les pauvres), cela fait de la viande soit en purée soit de la carne.
Ou est le plaisir ???
Et certain dirait qu'avec l'age, on mache mieux les légumes que la viande !!! LOL !!!

Quelle est la partie du légume qui ne passe pas à la moulinette ?
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. :tourne en rond
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Le fauteuil roulant

A+

sebasth a écrit:

Mais la viande aux hormones ça ne pourrait pas améliorer les performances cyclistes par hasard ???

Si ce sont des hormones femelles tu risques d'avoir quelques résultats morphologiques surprenants

Dolmen a écrit:

Si ce sont des hormones femelles tu risques d'avoir quelques résultats morphologiques surprenants

limite exitant tout ca

Salut,

Quant à moi ça fait longtemps que je mange peu de viande, mais je reconnais que parfois un filet mignon à la crème et aux morilles çà me branche !

Je fonctionne un peu à l'instinctothérapie, je mange ce qui m'attire, le plus souvent c'est des légumes ou des fruits.

Concernant les proétines, les haricots style amérique du sud (feijão en brésilien) contiennent 20 à 22% de protéines et 0 lipides ! A titre de comparaison de la viande séchée des grisons (boeuf, morceaux quasi sans gras) en contient 28-30%, mais contient aussi des lipides... 1Kg de feijão ça coûte peut-être 5-6 roros (comme dirait Romuald) et ça contient en plus des hydrates de carbone, la viande des grisons 45-50 roros le kilo en Suisse !!

A bon entendeur...

Et hop, quelques chiffres à vous faire devenir végétarien

Citation :

(...) La consommation de viande est évidemment très inégalement répartie dans le monde. En moyenne mondiale 36,4 kilos par personne en 1997-1999, cette valeur passe de 5,3 kilos en asie du sud à 88 kilos dans les pays industrialisés. Et cette quantité devrait continuer à augmenter, passant en moyenne à 45,3 kilos dans le monde, et à plus de 100 kilos par habitant pour les pays les plus riches (chiffres tirés d'un rapport de l'OMS, page 21).(...)

Un "reportage" nauséabond sur la remballe de viande en supermarché, ou comment la grande distribution s'y prend pour nous faire acheter et bouffer de la charogne.

Hummm les bonnes merguez !!!...

https://www.dailymotion.com/relevance/search/remballe/video/x37kqz_la-remballe-en-boucherie_news

Quelle créativité au supermarché

C'est cheu nous en plus, ouais ouais ouais, allez les canaris