Un simple relevé de choses étranges concernant la grippe..

Bravo Colibri ! Pas mieux ! (Quand le sage montre la lune, l'idiot... )

Petit résumé de la situation concernant la "pandémie"...
LA GRIPPE A POUR LES NULS
https://www.dailymotion.com/video/xbube8_ne-tirez-plus-sur-bachelot_fun

Colibri a écrit:

La question n'est pas comment leur trouver un espace intérieur, mais pourquoi se retrouvent-ils dehors (et pour certains, pourquoi préfèrent-ils y rester).

Ben c'est pas moi qui a écrit :
On ferait mieux d'héberger les personnes qui vivent dehors par -10°C...


En attendant de trouver pourquoi ils se trouvent dehors, il n'est pas mauvais, me semble-t-il, de leur trouver un "espace intérieur".

La société est malade de ses sans-abri. Faute de trouver le remêde, il faut traiter les symptômes.

Et tu le traites comment le symptôme, sinon avec un remède ?

Tiens, au fait, les sans-abris reçoivent ils un bon de vaccination dans leur boîte aux lettres ?

Traiter le symptôme, c'est offrir un abri d'urgence à ceux qui en ont besoin.

Traiter la maladie, c'est remédier aux causes qui les ont amené dans la rue.

canis familiaris a écrit:

Boarf, je méprise surtout ceux dont la bovine pensée rumine docilement la propagande qu'on leur sert à la louche.

Puisque tu sembles apprécier les proverbes chinoiis je te propose celui-ci: l'invective ne déshonore que son auteur.

Colibri a écrit:

On ferait mieux d'héberger les personnes qui vivent dehors par -10°C, ça couterait infiniment moins cher que la grippe A. Combien de morts à cause du froid chaque année ? Le budget anti grippe A est inversement proportionnel à son utilité.

L'un n'empêche pas l'autre, non?
Bien sûr qu'il faudrait mettre à l'abri les SDF mais ça n'empêche pas de vacciner des gens.

pfff.. autant dire "bien sûr qu'il faudrait lutter contre la pauvreté mais ça n'empêche pas de rémunérer grassement les spéculateurs".

Colibri a écrit:

pfff.. autant dire "bien sûr qu'il faudrait lutter contre la pauvreté mais ça n'empêche pas de rémunérer grassement les spéculateurs".

Sauf que je ne vois pas en quoi les spéculateurs o,t à voir avec la santé publique.

Alors que les SDF ou la grippe...

Parce que ce que l'on retient de ce qui se passe, c'est que l'état prend bien soin de l'industrie pharmaceutique avec comme prétexte la santé publique, pendant que de trop nombreuses personnes sont laissés pour compte..
Je ne parle même pas du montant déboursé qui a directement sur le compte des labos, montant qui est souvent égal ou supérieur à bien des déficits clâmés "spectaculaires" ou "records", par les médias..
Comme quoi l'argent, il ne faut surtout pas le gaspiller pour ces pauvres, qui n'ont aucune valeur de l'argent (et heureusement pour eux aucune idée des montants qui passent de main en main sournoisement pendant qu'ils crèvent la dalle dehors.. ou de consommer comme on leur dit de faire pour relancer l'économie et devenir riche dans le meilleur des mondes possibles ).

La richesse ne vaut que si elle est partagée... sinon elle n'est qu'égoïsme et solitude.. (et je parle même pas de la vie passée à baver devant l'éternel "toujours plus").

yvesg83 a écrit:

je ne vois pas en quoi les spéculateurs ont à voir avec la santé publique.

Arf, il est peut-être pas chinois ce proverbe-là, mais il dit pourtant bien qu'il n'y a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir...


Donc soit c'est de la dénégation pathologique et direction le psy, soit c'est de la merde persistante dans les synapses yeux et retour à la case grossièreté invective...

Wolfgang Wodarg a écrit:

Il ne devrait pas être permis à une organisation qui est clairement sous l'influence des compagnies pharmaceutiques et qui tirent profit de la vente des vaccins pour une telle pandémie, de définir elle-même en quoi consiste une pandémie. Beaucoup de décideurs de l'OMS ont travaillé pour l'industrie pharmaceutique et continuent de travailler pour cette industrie.

"Expertise et conflits d'intérêts"
http://pharmacritique.20minutes-blogs.fr/archive/2009/12/24/conflits-d-interets-forme-de-lobbying-une-filiation-occulte.html

Citation :

Prenons l’exemple de l’industrie pharmaceutique, de son influence dans le monde de la santé. Les mêmes professionnels aux conflits d’intérêts manifestes sont présents à toutes les articulations du système, et peuvent donc imposer les intérêts privés des industriels : ce sont les mêmes qui sont grands professeurs dans les hôpitaux et les universités, dominent la presse et l’édition médicales, la recherche, de même que l’information et la formation médicale continue – financée à 98% par l’industrie pharmaceutique, c’est dire ! Les mêmes sont experts auprès des agences de régulation (Haute autorité de santé, AFSSAPS…).

Dans ces conditions, « le lobbying direct auprès des élus n’est que la cerise sur le gâteau », puisque les intérêts des industriels sont déjà assurés par ce verrouillage total du système possible du fait des conflits d’intérêts. Cette domination de l’industrie pharmaceutique a atteint un degré tel que l’on parle désormais de « ghost management » : gestion invisible, mais omniprésente de tous les aspects médico-pharmaceutiques à travers lesquels ses intérêts particuliers sont susceptibles de s’imposer.

Et n’oublions pas les « mélanges malsains entre public et privé », dont on a un exemple avec le patron du LEEM (Les entreprises du médicament, syndicat des industries pharmaceutiques) et de Sanofi France, qui est entré dans le CA de l’INSERM au titre de « représentant du monde du travail »...

Les conflits d'intérêts sont permanents, ils existent dans tous les systèmes.

Tout le problème est de mettre en place des outils législatifs, des réglementations, des moyens de contrôle, etc qui réduisent au maximum les abus.

Pour cela il faudrait, bien sûr, que les politiques soient imperméables à la tentation, ou même à la connivence avec ceux qui commettent des abus.

Les comparatifs au sujet de la corruption, qui placent le paradis de la spéculation (les USA) en bonne position dans les classements concernant la corruption laissent pantois.

En effet ils ne montrent pas comment les gouvernants favorisent leurs "amis" ou se laissent manipuler.

Ici ce sont les laboratoires pharmaceutiques, qui font acheter trop de vaccins aux gouvernements,

mais il y a aussi les compagnies pétrolières, marchants d'armes et autres (Halliburton et autres sociétés de services aux armées) qui profitent des guerres et dont les anciens dirigeants et actionnaires sont ou ont été des dirigeants au plus haut niveau. Et se sont bien enrichis grâce aux guerres.

C'est beaucoup plus discret face au peuple car si on est beaucoup à être vaccinés, les pipe-lines, les armes et les guerres passent loin de nos yeux.

Je vous parle même pas des membres de l'administration Bush à l'époque, à peu près tous sérieusement "liés" à l'industrie de la guerre.. au plus haut niveau.

Quand on conduit un pays dans le but d'enrichir son entreprise..............

Colibri a écrit:

Je vous parle même pas des membres de l'administration Bush à l'époque, à peu près tous sérieusement "liés" à l'industrie de la guerre.. au plus haut niveau.

Quand on conduit un pays dans le but d'enrichir son entreprise..............

Oui, et ça a été pareil pour la première guerre de Tchétchénie et l'entourage d'Eltsine.

Retour sur la grippe avec une demi-heure entière d'émission consacrée à un tour d'Europe aussi critique qu'exhaustif de la "pandémie".
C'est sur Rance Inter et plus précisément dans Transeuropéenne, une fois n'est pas coutume...

http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/transeuropeenne/

Citation :

samedi 6 février 2010

La grippe en Europe
La grippe AH1N1 fait parler d’elle depuis cet été…
Qu’en est-il en Europe, comment se sont déroulées les campagnes de vaccination ?...
Transeuropéenne évoquera ce sujet en compagnie du professeur Marc Gentilini.

Marc Gentilini
Président honoraire de l'Académie Nationale de Médecine, ancien Chef de Service, Maladies Infectieuses et Tropicales,Hôpital la Pitié Salpêtrière (Paris),Président Honoraire de la Croix-Rouge Française, Président de l'Organisation PanAfricaine de lutte contre le Sida (OPALS).

En suite directe des z'analyses z'acerbes du Pr Marc Gentilini en lien juste au dessus...

La santé en mal de statistiques
jeudi 4 février 2010, par Ilka Vari-Lavoisier
http://blog.mondediplo.net/2010-02-04-La-sante-en-mal-de-statistiques

Christian LEHMANN a écrit:

Respirez un bon coup, ça va aller.

Le vaccin de Sanofi-Pasteur.
Le vaccin sans adjuvant.
Le vaccin PANENZA.
En monodose.

SANOFI vient de se rendre compte qu'il n'est pas stable. Que l'on ne peut assurer qu'il restera efficace aussi longtemps que prévu. QUE SA DATE DE PEREMPTION DOIT DONC ETRE AVANCEE D'UN AN.... Autrement dit que des vaccins censés être encore utilisables et efficaces jusqu'en Mai 2011 ne doivent plus être utilisés passé le 15 Février 2010.

Je sais que cette information est incroyable. C'est probablement pour cela que le gouvernement français, le ministère de la Santé, la DGS et son célébrissime Docteur Houssin Didier, l'homme pour qui tout rhume avec fatigue est une grippe H1N1 nécessitant impérativement du Tamiflu, c'est pour cela, donc, que ces braves gens ne vous en ont pas encore parlé, et les média itou.

C'est pour cela que tous ces experts qui vous ont seriné pendant des mois que les processus de fabrication du vaccin H1N1 étaient ri-gou-reu-se-ment indentiques à ceux du vaccin saisonnier ne se sont pas empressés de vous donner l'information.

Permalien :
http://enattendanth5n1.20minutes-blogs.fr/archive/2010/02/04/vaccin-h1n1-un-fiasco-chasse-l-autre-dans-l-indifference-gen.html

Après la vaccination des moutons citoyens, voilà celle des vaches...

Fièvre catarrhale
Ce vaccin qui désespère les éleveurs
Par Agnès Rousseaux (9 avril 2010)
http://www.bastamag.net/article978.html

Citation :

98 millions d’euros. C’est le coût annuel de la campagne de vaccination obligatoire du bétail contre la fièvre catarrhale ovine (FCO), décidée par le gouvernement fin 2008. La FCO touche les ruminants et particulièrement les ovins. Elle ne se transmet pas à l’homme et ne présente a priori aucun danger pour le consommateur. Sauf exceptions, cette maladie a un impact relativement limité sur les élevages touchés [1]. On est loin de la « crise sanitaire » évoquée par les pouvoirs publics. De nombreux éleveurs, réunis au sein de 71 comités départementaux, dénoncent l’obligation de vaccin, qui serait selon eux inutile : l’immunité conférée ne serait que de 6 à 12 mois, alors que les animaux peuvent développer une immunité naturelle de quelques années au moins. La vaccination n’empêche pas la transmission de la maladie, et l’éradication totale de l’insecte véhiculant la maladie est impossible, d’autant que les cheptels des pays européens voisins n’ont pas été vaccinés. Et surtout, les éleveurs mettent en cause le fait que ces vaccins contiennent des adjuvants agressifs et allergisants, tels que l’hydroxyde d’aluminium et les sels de mercure.

Alors qu’en 2009 semblait se dessiner un consensus pour rendre facultative la vaccination, Bruno Le Maire, ministre de l’Agriculture et de la Pêche, a pris la décision en fin d’année de reconduire la vaccination obligatoire. Une décision prise « à la sauvette contre l’avis de la plus grand partie du monde de l’élevage » selon la Confédération paysanne. Résultat ? L’État engage depuis quelques mois des poursuites contre les éleveurs qui refusent cette vaccination. Dans le Morbihan par exemple, 196 agriculteurs n’ont pas vacciné leur bétail en 2009. 96 sont poursuivis par les pouvoirs publics.

(...) En 2008, au moment de l’appel d’offre du ministère, trois laboratoires pharmaceutiques ont développé des vaccins : Fort Dodge, Intervet SPAH et Mérial. Des laboratoires qui ne sont autres que les succursales ou les unités de santé animale des laboratoires pharmaceutiques Pfizer, Merck et Sanofi-Aventis. Dans un communiqué, la Confédération paysanne a rappelé que les éleveurs « ne sont pas là pour pallier les difficultés de l’industrie, et encore moins pour en devenir les otages ». Devant la grogne des éleveurs, Bruno Le Maire a annoncé fin 2009 que l’État prendrait en charge tous les coûts liés à la vaccination (achats de vaccins et frais de vétérinaire). 98 millions d’euros de fonds publics, qui auraient sans doute pu trouver une meilleure utilisation en cette période de crise agricole. Surtout la partie versée à l’industrie pharmaceutique.

Un an après, le bilan de AH1N1...

Grippe A : des coûteuses précautions
Charles Desjardins 26/06/10 à 06h50
http://www.francesoir.fr/sante/grippe-des-couteuses-precautions

Citation :

L’anniversaire est presque passé inaperçu. En juin 2009, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) lançait l’alerte à la fameuse pandémie de grippe A. Un an plus tard, un silence gêné a succédé aux déclarations alarmistes et aux gesticulations médiatiques. Un silence que certains parlementaires ont rompu cette semaine pour dresser le bilan d’un fiasco sanitaire tandis qu’une étude de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) faisait le point sur la propagation du virus.

Premier constat : même si elle n’a pas été aussi redoutable que prévu, la grippe H1N1 a tué 18.156 personnes dans 213 pays. C’est moins que la grippe saisonnière qui fait jusqu’à un demi-million de morts chaque année dans le monde (chiffres de l’OMS). La France, elle, dénombre 312 victimes de la grippe A pour 4.000 à 5.000 décès provoqués par la grippe « classique ».

Deuxième observation, qui est aussi une confirmation : la campagne de vaccination a bel et bien fait un bide. Seulement 5,7 millions de Français ont accepté une injection préventive, soit 8,7 % de la population. Dans le domaine, la France est un des plus mauvais élèves de la planète, loin derrière les Etats-Unis (24 % de la population vaccinée) ou le Canada (74 % !). Un bien maigre résultat compte tenu du coût de la campagne de vaccination, estimée à 699 millions d’euros. Soit 122 euros par personne vaccinée.

De son côté, la ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, entendue jeudi par la commission d’enquête de l’Assemblée chargée de cette question, s’est défendue d’avoir exagéré l’importance de la pandémie. « J’ai retenu un scénario fondé sur des hypothèses plausibles, qui s’est révélé plus pessimiste que ce qui est advenu dans la réalité », a souligné la ministre. Elle a également reconnu « des points noirs » dans la gestion de cette crise, notamment au niveau des centres de vaccination et de la communication avec les médecins généralistes. Enfin, elle a déploré « la désinformation » sur les prétendus effets secondaires du vaccin. Des propos qui n’ont pas suffi à dissiper le sentiment que face à la grippe A, la France a sans doute déployer un trop grand « luxe de précaution ». Et le luxe, ça se paie !

En s'appliquant ses propres règles a elle même, Roselyne Glaxo ne peux que se dire que sa propre démission est inévitable

Et combien de morts de la grippe A "pure", càd sans maladie en parallèle, la grippe ayant été le facteur déclenchant.
D'ailleurs dans ces cas la grippe classique aurait pu être bien plus mortelle si la grippe A n'avait pas "pris la place" ^^.

J'ai un tuyau : La vitamine "c" c'est bon contre la grippe et les maladies infectieuses; le problème c'est de trouver les bons produits (sans sucre).
Il y a un (défunt) prix nobel qui recommandait cette vitamine à haute dose : linus pauling.
A plus

j'en rajoute une (petite) couche pour ceux que ça interresse :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Linus_Pauling#M.C3.A9decine_et_vitamines

miam miam les vitamines.

Ouaip, vitamine C naturelle, comme celle de l'acérola (fruit qui parmi ceux qui en contiennent le plus !
Contrairement à ce qui est dit, la vitamine C n'empêche pas de dormir, seul la prise de cette vitamine en période de "manque" provoque de l'excitation. Si vous n'en manquez pas ça fait même plutôt l'inverse. A prendre avec beaucoup d'eau pendant la journée sinon ça ne sert à rien.
Pour les états fébriles les tisanes de Lapacho ont aussi une liste d'effets bénéfiques assez longue, entre autres...

p.s. dans le documentaire "pièces à convictions" passé très récemment sur fr3, il était question des résistances bactériennes crées par la prise systématique de médicaments au moindre bobo, voir (souvent) en préventif. Bref, il y a de plus en plus de patients infectés par des bactéries d'origines animal, et comme ces animaux sont bourrés d'antibios, et des mêmes que ceux utilisés par les humains, il n'y a plus de traitement franchement efficace, et des gens meurs... pour que l'industrie de la viande puisse faire grossir ses bêtes plus vite, en tout illégalité (sur simple demande chez le véto, à l'accueil, la secrétaire signe l'ordonnance sans même en parler au vétérinaire... filmé en caméra cachée. Pratique courante apparemment). D'ailleurs les vétos ont un pourcentage sur la vente de ces antibiotiques, comme des vrp !
Si vous avez l'occasion de voir ce reportage accrochez-vous, ou abstenez-vous, dur dur de "malbouffer" après ça.

Bonjour, j'ai vu (lundi 28/06/2010) le documentaire http://programmes.france3.fr/pieces-a-conviction/ (bizarre , sur ce lien, je crois qu'il n'est pas possible de revoir l'émission)

Après ça invite à être végétarien, PCB dans les poissons, pesticides dans les saumons, antibiotiques (pas mal la tétracycline sur les dents des animaux de compagnie) dans la viande (poulet, porc...), maltraitance des animaux élévés dans des conditions épouvantables .... ça devient lourd .

A la fin évidement la conclusion est facile : manger bio et végétal de préférence; mais c'est plus cher et il y a un problème de sociablité, difficile de réfuser un bon repas ou un bon vin pas bio.

Voili voila, on reste donc dans le sujet (?) : on prend en grippe les nourritures "chimiques" et industrielles